Sivanea

creative projects by Daniel Hardman

La vie est belle (français)

2025-11-22

English Español

Paroles écrites par moi, en collaboration avec une IA.

Écoutez une interprétation de la chanson.

Image credit: AI+

[Couplet 1] Un vieil homme garde le coin, assis dans un vieux fauteuil ; ses cheveux blancs racontent tout ce qu’il a vécu, sans orgueil. Pieds nus sous la chaleur, il brûle au plein soleil, mains crevassées, dent manquante — il n’attend personne, non. Ses ongles parlent de routes que les jeunes ignorent, des chemins rudes et longs qu’ils ne parcourent pas encore. Mais si tu t’arrêtes un peu pour lui demander comment va le jour, il sourit de tout son cœur — un sourire qui t’ouvre au retour : [Refrain] « La vie est belle ! » s’éclaire-t-il. « La vie est belle ! » — et puis il salue chaque ami inconnu qui passe dans sa rue. Une lumière que la perte n’éteint pas, une grâce que le chagrin ne casse pas, quand ton cœur sait encore répondre : « La vie est belle ! » [Couplet 2] Sa femme, après soixante ans de luttes, vient de partir ; laissant cette rue bruyante lui donner un autre sourire. Ses enfants vivent loin ; parfois ils appellent un moment, mais surtout il reste ici, saluant les passants. « Elle vous manque ? » demande-t-on, croyant le voir pleurer. Il hoche la tête, puis sourit dans un soupir léger : « Bien sûr ! Tellement ! C’était ma joie… mais je ne veux pas me plaindre — elle est avec Dieu, alors je célèbre la paix qu’elle va atteindre. » [Refrain] « La vie est belle ! » s’éclaire-t-il. « La vie est belle ! » — et puis il salue chaque ami inconnu qui passe dans sa rue. Une lumière que la perte n’éteint pas, une grâce que le chagrin ne casse pas, quand ton cœur sait encore répondre : « La vie est belle ! » [Pont] Quand quelqu’un lui donne de l’eau un jour brûlant d’août, « Merci trois fois… » murmure-t-il — sa voix tremble un peu sans doute. Pour chaque geste infime, chaque douceur offerte en chemin, il trouve un chemin de gratitude, quand d’autres ne voient que le manque, rien. [Couplet 3] Il fait signe aux enfants ; voit les nuages glisser là-haut ; observe la lumière qui se pose sur les fleurs tout en repos. Et si tu tends l’oreille à la langue tranquille qu’il parle, tu entends cette sagesse qui fait naître du beau dans le pâle. Il choisit la clarté dans la nuit, la joie dans la douleur, la gratitude dans la perte, la bénédiction dans la peur. Et quand le jour s’éteint, que les ombres glissent lentement, il sourit à un ami-pas-encore et fredonne doucement : [Refrain] « La vie est belle ! » s’éclaire-t-il. « La vie est belle ! » — et puis il salue chaque ami inconnu qui passe dans sa rue. Une lumière que la perte n’éteint pas, une grâce que le chagrin ne casse pas, quand ton cœur sait encore répondre : « La vie est belle ! » [Outro] La vie est belle… La vie est belle…